Quand on met les pieds dans le simracing, on s’imagine rarement dépenser autant. Pourtant, au fil des années et de ma passion grandissante, je me suis retrouvé à investir plusieurs milliers d'euros dans du matos digne d’un pilote pro. Oui, avec ce budget, j’aurais pu me prendre une voiture d’occasion — et non, je ne regrette rien ! Voici pourquoi, et comment cet univers m’a passionné (et pourquoi ça pourrait bien être votre prochain gros kiff).
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Le simracing, c'est clairement l’accès le plus abordable au sport automobile : on peut déjà vivre des sensations folles avec une simple console. Mais soyons honnête, pour se sentir vraiment comme un pilote, il faut passer au volant. Et vous savez quoi ? Pas besoin de casser la tirelire au début : un set d’entrée de gamme suffit pour se lancer. Moi aussi, j’ai commencé petit… aujourd’hui, mon installation ferait pâlir plus d’un passionné, mais chaque étape en valait la peine. Alors, pourquoi ce choix ?
Franchement, je comprends que claquer autant dans « ce qui ressemble à un jouet » puisse surprendre. Faut dire, la plupart de mes proches croient que je suis fou ! Mais investir dans un volant Direct Drive Simucube 2 Pro, c’est comme franchir un cap. Les sensations, la puissance, la précision de conduite… tout change, c’est un virage qu’on ne regrette pas. Au début, il y avait peu d’alternatives abordables, mais aujourd’hui le choix explose, notamment avec des marques françaises créatives qui débarquent sur le marché.
Ce qui m’a fait halluciner avec la Simucube 2 Pro ? Sa fiabilité et la finesse du retour de force. Le ressenti en piste est bluffant : chaque perte d’adhérence, chaque vibration, tout est retransmis à la perfection. Contrairement à mes anciennes bases ou à des directions électriques de voitures modernes, rien n’arrive à la cheville de ce matos. Le soft qui l’accompagne est intuitif, simple à régler. Du lourd. Et le matos encaisse sans broncher, même après des sessions interminables en endurance et de vraies batailles sur simulateur !
J’ai eu quelques pépins, mais c’était du côté des accessoires, jamais de la base elle-même. À chaque fois, le service client a assuré — zéro stress, zéro euro de plus déboursé. Quand on cherche la tranquillité et la qualité, on savoure chaque euro investi.
Au fil des années, j’ai réalisé que la tranquillité d’esprit, c’est le vrai luxe du simracing. Bye bye les soucis de fiabilité ou de pannes fréquentes qui te pourrissent la session. J’ai remplacé mon pédalier capricieux par un équipement costaud, et depuis : zéro galère, juste du kiff. J’ai aussi changé de boîte de vitesses pour retrouver des sensations authentiques, comme en vrai ! Et je n’ai pas hésité à upgrader mon cockpit grâce à des occaz’, astucieuses et robustes.
Investir dans du matos de qualité, c’est profiter de chaque session sans prise de tête — exactement ce qu’il fallait à un passionné comme moi qui ne supportait plus les pannes en série. Résultat : chaque moment derrière le volant devient vraiment un plaisir pur, sans se demander si tout va lâcher en plein tour chrono.
L’immersion, c’est le nerf de la guerre. Et là, la réalité virtuelle fait toute la différence. Ok, c’est un budget à part entière : casque VR, PC boosté… l’addition grimpe vite ! Mais la sensation d’être dans le cockpit, de ressentir chaque relief, chaque virage, est juste incomparable. Pour moi, la VR, c’est l’expérience ultime du simracing.
Quelques upgrades m’ont coûté un bras (merci la carte graphique !), mais chaque investissement m’a permis de repousser les limites de l’immersion et du plaisir de pilotage. C’est aussi ça, le simracing : repousser les frontières entre virtuel et réalité, pour vibrer vraiment à la maison.
Soyons réaliste : additionnez tout, et ça fait une belle somme. Mais face aux coûts explosifs du karting ou du track day (entretien, essence, pneus, location de piste, etc.), le simracing reste hyper abordable. Une fois votre setup acheté, il n’y a quasiment plus que du plaisir, sans dépendre du météo, du circuit dispo ou d’un agenda serré. La liberté totale !
En plus, en ligne, j’ai pu vivre des courses mémorables où l’esprit de compétition est intact, sans devoir sacrifier des week-ends entiers ou risquer la casse mécanique. Bien sûr, rien ne remplace le contact avec la piste, mais pour optimiser le budget et se faire plaisir toute l’année, le simracing c’est LE bon plan pour vibrer comme un vrai pilote, 100% depuis son salon.
Note : les visuels de l’article servent à illustrer l’univers du simracing, même s’ils ne représentent pas exactement mon propre cockpit.
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