La Nouvelle Renault Clio, c'est le grand retour d'une icône qui n'a jamais cessé de se réinventer. Avant son arrivée officielle sur nos routes, notre rédaction s'est penchée en détail sur cette sixième mouture qui secoue déjà les standards de la citadine. Nouveaux choix de design, stratégie constructeur, habitabilité et innovations sous le capot – suivez le guide pour voir la Clio autrement !
Impossible de rester indifférent devant sa silhouette plus affirmée. Perso, la face avant me paraît un chouïa « too much », avec une calandre imposante qui risque de ne pas faire l’unanimité sur la durée. Jusqu'ici, Renault savait mixer modernité et sobriété, évitant la surenchère – cette fois, la Clio fait un vrai pari stylistique.
L'intérieur joue sur la nostalgie, reprenant l’idée des doubles écrans façon R4/R5, sans être gênant. Gros bémol sur les matériaux et le cache central entre les sièges qui paraît un peu cheap. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, l’agrandissement extérieur ne rime pas forcément avec plus d’espace à bord. Clairement, à l’arrière, on manque de place et l’accès n’est pas idéal.
Le tarif de base devrait tourner autour de 20 000 €. Pour l’hybride, comptez largement plus. Dommage qu’il n’existe pas une version GPL en boîte manuelle pour les petits budgets ! Renault aurait tout intérêt à proposer une hybride moins puissante, car tout le monde n’a pas besoin de 160 ch.
Le point fort : une polyvalence toujours d’actualité pour ceux qui veulent éviter les SUV. Déception côté habitabilité et absence de version GPL accessible, dommage pour une citadine qui se veut universelle.
Pour l’instant, Renault couvre déjà le segment B avec d’autres électriques comme les R5 et R4, ce qui rend inutile une Clio full électrique. On attendra la prochaine génération !
Renault maîtrise son sujet, on peut s’attendre à une Clio 6 qui s’impose encore dans sa catégorie. Attention tout de même au niveau de confort, petit bémol ces derniers temps chez le constructeur.
La première impression ? Un vrai mix de styles issus d’autres petites voitures, un peu déroutant sur écran… Mais en vrai, la Clio 6 sait séduire grâce à une vraie présence.
À l’intérieur, moins d’effet wahou que dehors : Renault a gardé de la personnalité sans copier à 100% les précédentes R5/R4, mais ça manque de nouveautés marquantes.
Tenir sous les 20 000 € semble compliqué, surtout sans un petit moteur d’appel. En finition Alpine hybride, la barre des 30 000 € se profile… ouch !
Gros kiff pour l’arrière et sa silhouette fuyante ! Par contre, le volet central, c’est cheap, et l’habitabilité arrière ne progresse pas malgré une voiture plus longue. Les centimètres en plus ne se sentent pas à bord.
Avec la montée en gamme des électriques déjà présentes, la Clio n’a pas besoin de se lancer sur ce créneau. C’est cohérent de la garder thermique et hybride pour le moment.
La Clio promet de faire mieux sur l’insonorisation et le confort à basse vitesse. Avec un modèle déjà au top, la version 6 semble prête à challenger Golf et 308 sans complexe.
Avec cette Clio 6, Renault ose tout changer. En photos, la poupe façon Ferrari Purosangue tape dans l’œil, le profil de coupé dynamise le tout, mais la calandre, vraiment ? À voir en vrai !
Dedans, on sent une vraie parenté avec les R4/R5. Pas de révolution ici, mais de vraies qualités d’ergonomie et des commandes physiques toujours à portée de main.
L’augmentation de gabarit et de puissance laisse craindre une entrée en gamme nettement supérieure à 20 000 €.
On salue le vrai cran stylistique qui change des SUV clones, mais l’espace arrière reste limité, dommage vu la nouvelle taille.
Renault a toujours su différencier ses gammes thermiques et électriques. La Clio 6 suit cette logique, en misant sur l’hybride et le thermique. C’est clair : le marché du zéro émission progresse lentement.
La Clio reste une référence de polyvalence. Même base technique que la génération précédente : la 6 devra confirmer son leadership avec quelques optimisations.
Le nouveau look casse les codes, mais flirte un peu trop avec une certaine surcharge visuelle à mon goût : c’est très « déjà vu », un peu 208 de profil, et surtout, ça fait beaucoup d’effets pour un résultat assez lourd. Pour l’instinct coup de cœur, on attendra derrière le volant !
L’inspiration R5/R4 continue, sans vraie surprise. Attention : ce style très carré peut vite dater, surtout sans le charme du vintage. On verra comment il vieillit !
Il faudra que la Clio se cale entre 20 000 et 25 000 € pour tirer son épingle du jeu – sinon, elle risque de perdre pas mal de fans sur ce segment très prisé.
Pour l’instant, je reste sur ma réserve. Rien ne m’a vraiment emballé, mais le comportement routier pourrait me réconcilier avec elle !
La gamme électrique de Renault est déjà bétonnée avec les R4, R5 et bientôt Twingo. La Clio garde sa place de citadine polyvalente destinée à séduire ceux qui veulent un modèle abordable sans les contraintes de l’électrique.
Ce que j’attends le plus : plus de confort que sur la Clio 5, tout en gardant son efficacité de conduite. Une équation gagnante pour convaincre les urbains exigeants !
La Clio 6 pousse le style encore plus loin, avec un vrai parti-pris musculaire. Elle impose sa personnalité sur le segment, devant même inspirer les futurs modèles de la gamme Renault. Une référence, tout simplement !
L’ambiance à bord reste assez classique, avec une interface digitale déjà vue ailleurs dans la gamme. Les contreportes bénéficient d’un soin particulier, mais attention : les versions « entrée de gamme » pourraient réserver des surprises sur les matériaux et garnissages.
La disparition du petit moteur essence fait grimper le ticket d’entrée au-delà de 20 000 €. La Clio la plus abordable, à 16 900 €, appartient au passé.
Gros plus : les phares sans vitre qui signent un regard puissant. Point négatif : pas plus d’habitabilité ni de coffre, malgré une taille en hausse. Mais où sont passés ces centimètres en plus ?
Pourquoi pas une Clio électrique ? Certes, ça serait cohérent, mais Renault préfère rester pragmatique et ne pas se disperser, compte tenu de ses moyens actuels.
La base technique de la Clio 5 reste fidèle au poste. La Clio 6 ne sera pas une rupture radicale, mais se veut ultra polyvalente pour un large public. On surveillera tout de même l’impact du poids sur le comportement routier.
Côté look, mention spéciale pour le trois quarts arrière dynamique ! Dommage que la face avant paraisse chargée – je préférais l’élégance de la précédente version restylée.
L’instrumentation et l’écran sont un peu « posés » sur la planche de bord, mais finition et équipement grimpent.
L'entrée de gamme à 115 ch démarre à plus de 20 000 €, avec un différentiel de 3 à 4 000 € par rapport à l’actuelle. Une inflation notable !
La Clio 6 coche la case polyvalence pour qui ne veut pas d’une Mégane, mais l’absence de version sportive ou diesel, et l’espace à bord qui stagne, c’est frustrant. Pourquoi allonger la voiture sinon ?
Non : avec la stagnation du marché électrique, R5, R4 et Mégane tiennent la barre des 100% électriques.
La Clio 5 était déjà super équilibrée. La version Hybride 160 promet un cocktail punch/sobriété qu’on a hâte d’essayer !
Le look est ultra-personnel. Pour moi, trop « sur-dessiné », trop de textures, pas assez d’élégance – un style à la Peugeot. La Clio 6 va devoir durer longtemps, un vrai pari stratégique.
L’habitacle rappelle beaucoup la R5 et la R4. Bonne nouvelle : commandes physiques et interface claire toujours présentes. Mauvaise nouvelle : l’abandon de l’écran vertical central gênant pour la navigation GPS en 3D.
La gamme démarre à 115 ch, tarif de base proche des 20 000 €. Une version plus accessible serait bienvenue à 18 000 €, mais la Clio 6 arrive un peu tôt, la 5 ayant encore du potentiel. Reste à voir comment elle tiendra neuf ans dans le game !
Incompréhensible que la version GPL ne soit dispo qu’en boîte auto. Les petits budgets sont les premiers à vouloir passer à la pompe pour moins cher !
Aucune nécessité : l’offre Renault est déjà complète en électriques. La Clio joue sa carte thermique/hybride à fond.
La Clio 5 restait la référence du segment, même si un amortissement plus moelleux serait bienvenu. Avec la même base technique, on s’attend à un comportement sain. Vivement le test en conditions réelles de la Clio 6 !
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