Valentin Vacherot, 26 ans, vient d’entrer dans l’histoire du tennis monégasque. Vainqueur surprise du Masters 1000 de Shanghai, il a fait tomber Novak Djokovic avant de dominer en finale son cousin Arthur Rinderknech. Millionnaire en un seul tournoi, le nouveau 40e mondial garde pourtant la tête froide. Pas question de lâcher sa Peugeot 307 achetée quelques semaines avant le sacre. Sur le circuit, le Franco-Monégasque tranche par sa simplicité et une authenticité qui fait du bien.
Vous avez peut‑être suivi cette ascension express: le 12 octobre, alors qu’il était 204e à l’ATP, Vacherot a créé la sensation à Shanghai en remportant un Masters 1000, plus bas classé à y parvenir. Son run? Monumental: Djokovic écarté en demie, Rinderknech dominé en finale. Résultat, le Franco‑Monégasque bondit à la 40e place et encaisse plus d’un million de dollars (1 124 380 $, près de 968 000 €). Un virage éclair pour un joueur qui disputait encore des tournois ITF quelques mois plus tôt. De l’anonymat des courts secondaires aux projecteurs mondiaux, sa trajectoire raconte un tennis méritocratique et résilient, où la confiance, le travail et un mental solide font toute la différence. Rien par hasard.
Malgré ce jackpot, Valentin Vacherot n’a rien changé à son quotidien. Dans un entretien à 20 Minutes, il raconte avoir acheté une Peugeot 307 avec ses parents quelques semaines avant Shanghai. Une voiture d’occasion, évidemment, et dont il n’a pas prévu de se séparer: “Pour être honnête, ce sont surtout les gens qui me rappellent combien j’ai gagné; c’est la dernière chose à laquelle je pense.” Il ajoute: “C’est fou quand on y réfléchit, mais je n’y pense pas, j’oublie même parfois.” Dans une autre interview, il a aussi précisé: “Je n’ai jamais été dépensier, ce n’est pas maintenant que ça va commencer.” Au programme, pas de bolide de luxe mais du concret: voyager avec son équipe, s’offrir des vacances avec sa compagne, passer du temps à Monaco, et surtout investir dans son staff pour prolonger la dynamique et se donner les moyens d’aller plus loin. Une gestion saine qui rappelle qu’une carrière se construit sur la durée, pas sur des achats impulsifs seulement.
Cette info prend encore plus de relief face à une autre actu du circuit. Lors de l’ATP 250 de Stockholm (13–19 octobre), le Danois Holger Rune, membre du Top 10, a confié s’être offert une Porsche 911… alors qu’il n’a pas encore le permis. Inspiré par Novak Djokovic, n°5 mondial, il a expliqué en conférence de presse: “Je l’ai vu la conduire à Miami et je me suis dit: ‘wow, cette voiture est incroyable’. Je viens de commencer à apprendre, mais je n’ai pas encore mon permis.” Ironie, il aurait aussi pu rouler en Peugeot: Djokovic a longtemps été ambassadeur du Lion. Deux trajectoires opposées, deux visions du succès, et peut‑être bientôt un duel sur les courts pour savoir qui l’emportera. Sur la route, en revanche, avantage net à celui qui a déjà le précieux sésame. Entre modestie assumée et goût du bling, ces choix automobiles disent du rapport des champions à l’argent, à l’image et à la performance extrasportive.
Nouvelle ou ancienne, thermique ou électrique, l’automobile me fait vibrer depuis toujours. Au volant comme derrière mon écran, j’en parle avec autant de passion que possible !
De la 307 à la 911, la trajectoire se choisit. Pour rêver Porsche Taycan sans se ruiner, LOA ou LLD tracent la bonne ligne. Du choix au contrat, cap sur Joinsteer.
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